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Témoignage
Les conséquences du chômage sur votre vie privée
Le cadrage d’une activité débordante
J’ai mal vécu cette période. Surtout au début. Peut-être je culpabilisais, peut-être surtout l’angoisse, l’angoisse de mal faire. Pas faire comme il faut, et pas en faire assez. Ce n’est pas ça, pas, disons, il y a un truc qui se met en place qui pousse à compter. Pas compter pour, contrôler. Je pense que c’est ça, contrôler, se contrôler. Pour être sûr de faire ce qu’il est nécessaire. Une petite mécanique perverse qui te piège toi-même.
(Femme, 48 ans, Bac+4, 9 mois de chômage, n°S31).