Retour
Témoignage
L’accès au marché de l’emploi
Accepter une dégradation professionnelle
Si je pense à l’avenir, je suis pris d’angoisse. Automatique. Quand on est passé par là, ben on ne peut pas, c’est insidieux. Je faisais des cauchemars, oui, j’avais peur au début de perdre mon travail, et je faisais des cauchemars. De ce côté ça a passé. Après la situation n’est pas mirobolante et je ne peux pas m’empêcher d’y penser. Chômage le retour, le film d’horreur plus plus. (Rires). J’arrive à en rire, mais je suis pas guéri quand même.
(Homme, 46 ans, BEP, 11 mois de chômage, n°S16).