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Témoignage
L’accompagnement
Être prêt, être soi-même
Mais c’est vrai que des fois, pour avancer, ou quand il y a des périodes pas marrantes, il faut se pousser. Je trouve que c’est difficile à dire : d’un coup ce n’est plus possible. Le fardeau est trop lourd, ce qui fait que tu as juste envie d’arrêter. Il y a des fois, je n’y croyais plus, oui, et ça tombait comme ça. Sans raison, juste la raison que… il y a saturation. Il faut gérer et ce n’est pas évident. Tu passes par des drôles d’états où tu es obligé de t’écouter, tu n’avances plus. Et le problème c’est surtout ne pas lâcher. Ta force personnelle, elle te met cette alarme, surtout ne pas lâcher.
(Homme, 52 ans, Bac+2, 15 mois de chômage, n°S1).