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				Témoignage
			L’accompagnement
			Une situation à part
			
		Je ne supporte pas l’idée de quémander. C’est vraiment dur. Pour moi ce n’est pas pareil de chercher des contacts nouveaux, de rencontrer des gens que je ne connais pas. Mais taper à la porte de ceux avec qui j’ai travaillé. Je me sens rabaissé de faire ça. Je me sens diminuée de ne pas avoir de travail. Alors demander de l’aide, ça revient à ça, dire au secours en fait. Et bon, moi je ne peux pas.
(Homme, 47 ans, Bac+2, 6 mois de chômage, n°S15).
